La recherche, qui nait dans une activité séminariale développée par le DIRAS (Dipartimento di Italianistica, Romanistica, Arti e Spattacolo) de l’Université des Etudes de Gênes, ici présentée par Andrea Leonardi e Margherita Priarone, a été conduite, sous la supervision des Profs. Ezia Gavazza et Lauro Magnani, avec la collaboration de Piera Ciliberto, Anna Manzitti, Guido Rosato, Alfonso Sista et Giovanna Rotondi Terminiello. L’analyse est centrée sur la riche activité, dans le contexte génoise et ligure, des peintres qu’ont travaillé sur le rapport entre ‘quadrature’ et image figurée, à partir de la troisième décennie du XVIIe siècle jusqu’à la cinquième décennie du XVIIIe siècle; l’étude se propose toutefois de considérer aussi l’activité des artistes génois présentes dans des autres situations régionaux, en considération d’une plus vaste interprétation du contexte de la « grande decorazione » et de la fausse architecture d’illusion. Dans l’analyse de l’espace et de la structure architectonique et de perspective sur les voûtes et les parois frusquées on voudrait spécialement étudier le rôle et la fonction des sculptures peintes : présences des sculptures à faux marbre, à faux stuc et à faux bronze sont insérées dans la scène frésquée avec une référence au contexte iconographique et avec un rôle fort de scansion structurale, d’enfatization et d’accentuation rhétorique du sujet. La recherche veut porter en évidence les différentes moments de cette complexe univers décoratif, qui arrivera, entre XVIIe et XVIIIe siècle, à une intégration totalisante entre l’élément de la sculpture illusive et la scène principale rapprésentée. Les derniers résultats de ce parcours sont rejoints au début du XVIIIe siècle dans la mimesis de Domenico Parodi, artiste au même temps sculpteur, peintre et architecte. Avec Lorenzo De Ferrari, encore, la bidimensionalité plastique et des faux sculptures viendra à caractériser l’ambiant réelle dans une façon complète. Le moment projectuelle de ces espaces ‘compliqués’ doive être suivi à travers la lecture des dessins des artistes et des leurs ateliers.
A DEUX DIMENSIONS: FEINDRE LA SCULPTURE DANS LA 'GRANDE DECORAZIONE' A GENES ET EN LIGURIE
Leonardi, Andrea;
2006-01-01
Abstract
La recherche, qui nait dans une activité séminariale développée par le DIRAS (Dipartimento di Italianistica, Romanistica, Arti e Spattacolo) de l’Université des Etudes de Gênes, ici présentée par Andrea Leonardi e Margherita Priarone, a été conduite, sous la supervision des Profs. Ezia Gavazza et Lauro Magnani, avec la collaboration de Piera Ciliberto, Anna Manzitti, Guido Rosato, Alfonso Sista et Giovanna Rotondi Terminiello. L’analyse est centrée sur la riche activité, dans le contexte génoise et ligure, des peintres qu’ont travaillé sur le rapport entre ‘quadrature’ et image figurée, à partir de la troisième décennie du XVIIe siècle jusqu’à la cinquième décennie du XVIIIe siècle; l’étude se propose toutefois de considérer aussi l’activité des artistes génois présentes dans des autres situations régionaux, en considération d’une plus vaste interprétation du contexte de la « grande decorazione » et de la fausse architecture d’illusion. Dans l’analyse de l’espace et de la structure architectonique et de perspective sur les voûtes et les parois frusquées on voudrait spécialement étudier le rôle et la fonction des sculptures peintes : présences des sculptures à faux marbre, à faux stuc et à faux bronze sont insérées dans la scène frésquée avec une référence au contexte iconographique et avec un rôle fort de scansion structurale, d’enfatization et d’accentuation rhétorique du sujet. La recherche veut porter en évidence les différentes moments de cette complexe univers décoratif, qui arrivera, entre XVIIe et XVIIIe siècle, à une intégration totalisante entre l’élément de la sculpture illusive et la scène principale rapprésentée. Les derniers résultats de ce parcours sont rejoints au début du XVIIIe siècle dans la mimesis de Domenico Parodi, artiste au même temps sculpteur, peintre et architecte. Avec Lorenzo De Ferrari, encore, la bidimensionalité plastique et des faux sculptures viendra à caractériser l’ambiant réelle dans une façon complète. Le moment projectuelle de ces espaces ‘compliqués’ doive être suivi à travers la lecture des dessins des artistes et des leurs ateliers.I documenti in IRIS sono protetti da copyright e tutti i diritti sono riservati, salvo diversa indicazione.
